• C'est vrai je ne viens plus je ne sors plus je m'habille de mes rêves(*)...‘ Á bientôt vous...

    (*) mes cauchemars, mes démons, seraient plus juste.

    Partager via Gmail

  • Le fascisme, ce n’est pas uniquement la politique des gros bras pour faire peur aux élites ou aux adeptes du débat démocratique, c’est aujourd’hui un outil qui banalise la virilité de l’homme fort et la brutalité du simplisme. Et, oui, les démocraties peuvent en mourir, à petit feu ou d’une seule flambée.

    Partager via Gmail

  •  

     

     

    Le petit cortège avance à travers les courants d'air des couloirs, il est tôt il fait sombre et froid, le juge aux côtés d'un barbu pope est suivi d'une dizaine de personnes, le directeur de la prison, des assistants aux fonctions diverses, dont seule la bureaucratie soviétique connaît les attributions, tous vont vers la mort.               

    Ils sont pressés d'aller rejoindre Yvan qui les attend en haut de son gibet en compagnie de l'assistant. Yvan ne voulait plus de ces deux, trois... Ces assistants soit disant qualifiés qui au premier condamné tournent de l'œil en voyant le pendu pendre au bout de la corde les yeux exorbités, langue pendante animé de soubresauts.

     C'était au temps de l'union soviétique...

     

     

     

     

     

    Partager via Gmail

  • Les casseurs qui eux n'attirent que la haine de tous… Ne serait il pas intéressant de connaître leurs profils, les raisons de cette haine sauvage qui les motive. Sont ce des gosses de banlieues que d'un autre côté on veux sortir de leurs citées, des ghettos où ils sont parqués, eux et leurs familles?  

    Attendons nous bien sur à en trouver d'irrécupérables, mais es ce que ça ne vaudrait pas la peine d'essayer? 

    Que faire devant cette situation, essayons.

     

    Partager via Gmail

  • Je ne participe pas à cet engouement car notre société n'est plus dans l'attente d'une révision des tarifs pétroliers ou autres, c'est dépassé. Il semble que maintenant se dessine une tendance bien plus grave, bien plus profonde car toutes ces revendications ne peuvent être exaucées que par une refonte totale du système et donc je ne vois qu'une seule solution à ces problèmes; Révolution … Oui le mot fait peur et c'est pourtant ce que les gens demandent en ne mesurant pas la portée de ce début d'engagement.
     Supprimer des institutions telles que le sénat, cet exemple qui absorbe beaucoup d'argent et qui permet à des "notables" de s'engraisser depuis un peu plus de deux siècles, seule l'assemblée suffirait. Faire passer à ces décideurs la manie de créer des amendements, des lois, de désigner des commissions pour n'importe quoi, qui créent des projets qui restent lettre morte et qui coûtent, mieux vaux ne pas savoir combien.
     Nous ne pouvons continuer ainsi, le peuple gronde, un changement radical devient obligé, comment s'y prendre, comment gérer tout, Macron a été élu pour cela mais bien vite il a rejoint les autres politiciens (cards). Alors maintenant nous faisons quoi, et cela peu de gens, gilets jaunes, n'y ont pas pensé, n'ont mesuré l'importance et la gravité. Nous verrons bien mais ce n'est guère rassurant, à moins que, le grand soir ne soit là!  

    Partager via Gmail

  • Le rêve français : un petit bout de terrain pour y planter sa maisonnette et ... la voiture. Voilà comment, au fil de ces trois ou quatre dernières décennies, les centres-villes se sont dépeuplés au bénéfice de périphéries de plus en plus excentrées. Et au passage "au détriment des terres agricoles, moins rémunératrices que la vente d'un bout de terrain" à un urbain. Le rêve ultime étant d'avoir une belle vue sur les Pyrénées, et si possible, un petit bassin pour les enfants.

    Avec un impôt foncier moins cher et des impôts locaux moins élevés que dans la ville, ce fut la ruée vers les périphéries et même plus loin.

    Mais, car il y a un MAIS, avec un bilan carbone catastrophique pour des ménages souvent obligés d'avoir deux véhicules et des dépenses de carburant salées. C'est d'ailleurs surtout dans ces zones que l'on voit des gilets jaunes. Beaucoup moins, à quelques exceptions près, dans les zones de vraie pauvreté où la voiture est un luxe et où ce ne sont pas de simples gilets qui vont permettre de surnager mais laissons les rêver. Dans tout ça où en est la planète?

    Partager via Gmail

  • c'est vrai je ne viens plus

    je ne sors plus

    je m'habille de mes rêves...‘

    Á bientôt  vous

    Partager via Gmail

  • J’ai découvert récemment une citation de Montaigne, gravée sur le socle de sa statue face à la Sorbonne. « Paris a mon cœur dès mon enfance, a écrit le philosophe. Je ne suis Français que par cette grande cité. Grande surtout, et incomparable en variété. La gloire de la France, et l’un des plus nobles ornements du monde. »

     

    Partager via Gmail

  • Révolutionnaire Bescherelle? Non. De même que Voltaire, qui s'énerve : « Clément Marot a ramené deux choses d'Italie : la vérole et l'accord du participe passé... Je pense que c'est le deuxième qui a fait le plus de ravages ! »

    Partager via Gmail

  • Nous les premiers ne sommes heureux que lorsque nous voyons notre progéniture "passes ton bac et tais toi". Mais que faire de ces têtes blondes diplômées, philo c'est bien, et puis c'est ouvert à tous les QI moyens qu'ils sont presque tous. Voilà où nous en sommes, nous, nous sommes dans le manuel, nous avons réussi avec un certificat d'études primaires, - quelle honte ton père !!! Il est vrai que nous demandons un BTS tourisme pour tenir un poste de simple réceptionniste d'hôtel, abondance de diplômés, nous sommes tombés dans le jeu.

    Ben ouai et alors.

    Partager via Gmail