• Une nuit comme 100000 nuits à venir, non !



    Les hommes avaient perdu le goût
    De vivre, et se foutaient de tout
    Leurs mères, leurs frangins, leurs nanas
    Pour eux c´était qu´du cinéma
    Le ciel redevenait sauvage,
    Le béton bouffait l´paysage... d'alors

    Et v´là qu´il fit un rude hiver
    Cent congestions en fait divers
    Volets clos, on claquait des dents
    Même dans les beaux arrondissements
    Et personne n´osait plus le soir
    Affronter la neige des boulevards... alors
     
     
    Et ce n'était que des allemands ! Des petits hommes. 
    « La MarveEs ce déjà sur ce blog, je n'en sais rien... peut être? »
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