• En cette période perturbée l'on peut se prendre à rêver d'une anarchie positive. Je sais, cela parait fou mais réfléchissons un peu S.V.P.

    Par des luttes fratricides entre leaders de mouvements, ils envoient, ces nazes, les gens chez le fn, donc tout mais pas ça !!!  Vous êtes bien d'accord, non ?  Et pourtant cela à l'air de se profiler au loin.

    Donc si nous ne tenons pas compte des réserves énergiques que nous fait

    Attention voila du sensible !

    "Bruxelles", pourquoi ne pas essayer. Tous les pays du sud Européen sont d'accord pour gommer tout ou partie de l'ardoise et repartir par cela d'un autre pied (je ne dis pas d'un bon pied). Pensez vous que quelqu'un irait nous dire que nous sommes bannis, "excommuniés" ! de cette Europe menée par des pays soit disant vertueux mais qui ne pourraient pas survivre sans nous, c'est prouvé.

    Se diriger vers une gauche radicale, qui n'aurait pas peur des avertissements des partis peureux, obligés de composer,  trop pris dans ce système mené par les banques.

    Fou moi? Pas plus que le début de ce siècle en tous cas.

    Salut...

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  • Ne plus lire  depuis longtemps est  perdre un ami important.

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  •     Il peut se passer, qu'arrivant chez des amis qui ont eu la charmante idée de vous convier à leur dîner, et, malgré une hôtesse adorable et  un hôte aux petits soins, vous découvrez que vous n'êtes pas le seul participant à cette petite fête, tant mieux pour l'ambiance dans le fond !  

    Seulement j'ai remarqué qu'après quelques verres le vrai visage de certains apparaît, et pas toujours à leur avantage. Ceci a conforté une impression que je constate de plus en plus ces dernières années, je n'emploie pas de mots "importants", définitifs, mais je vois une agréssivité entre les personnes. Elle émane de "vrais Français" comme ils se nomment avec une certaine fierté, contre d'autres qui n'en sont pas moins. 

        J'ai dû subir ces conversations virulentes aux verbes hauts toute la soirée. Je ne généralise pas puisque ce ne fût le fait que d'une personne, les autres, bien élevées subissant avec des hochements de tête ces propos déplacés dans une réunion amicale. 

        Eh oui, l'on peut être amis de longue date mais par des parcours différents évoluer différement.

        En réagissant comme cela pourquoi continuerai je une amitié maintenant disparue?

         A vrai dire je me pose encore la question, pourquoi ne pas interrompre cette relation avant que la haine s'empare de moi face à la xénophobie de ces proches et de beaucoups de mes concitoyens?

         Ce texte ne semble pas appeler de réponse, au contraire car je suis assé désemparé devant tout cela, alors si ou avez la chance ou la malchance de "tomber" sur mon blog (d'abord ne vous faites pas mal) répondez moi !

     

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  • Je n'ai pas de bouche et je dois  crier

    Je n'ai pas d'yeux et je voudrais pleurer

    Je ne m'aime pas . . .

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