Ce titre enchanteur, selon Tino roosbeef, me fait gerber.

Que celui qui commence sa vie à soixante ans lève le doigt, PAUVRE NAZE!.Pour cela il ne faudrait avoir rien connu avant, mais quelle horreur !

Non, la vérité est que à soixante ans nous sommes dans l'antichambre de la fin, le début de la décadence, les petits bobos prennent une importance démesurée, les projets sont limités à deux trois ans, on ne peut envisager plus loin en toute objectivité, ou alors c'est le gâtisme. Faire des voyages et des soirées en tapant des mains en se tapant  la danse des foulards, ce n'est plus ça la vie,de toutes façon ça ne l'a jamais été Dieu merci! Amen.

Que celui qui pense le contraire me le dise. Merci. 

    Ce titre est périmé, ou plutôt ce dicton, jugez plutôt.

    Lors d'une élection vous votez pour un type reflétant à peu près vos idées du moment, et que voyez vous? Il se met à se contredire les trois quart du temps; suppression d'exonérations fiscales pour les heures sup. (très social !), autorisation de licenciement massifs, exonération des 75% pour le PSG = 40 millions d'économies pour ce trust (très social !), promesses non tenues, maintenant il a bel et bien rejoint Merkel, etc... pas la peine d'énumérer plus puisque lui même l'a reconnu lors de sa dernière conférence de presse. Il ne me semble pas foncièrement bête (au contraire même), pas plus que les autres en tous les cas.

    Donc, il n'est pas con puisqu'il change d'avis, à contrario de l'âne.

    Entre nous, l'âne est il si nul qu'on le dit, jalousie sans doute venant de nous pauvres petits mâles, foncièrement gentil, un sexe à envoyer Mr. Sifreddy aux restos du cœur, NON ! cet animal est formidable en tout. 

Je propose donc un nouveau dicton. Seul JF. Coppé ne change pas d'avis. 

Quel homme a le droit, retranché derrière des lois d'en tuer un autre. Aucun! La préméditation, là s'en est bien puisque prévue par  tout un système élaboré pour punir en tuant.