• Il y a la méthode radicale : celle qui consiste à l’effacer d’un trait. Ses partisans ne manquent pas de rappeler l’exemple des Etats-Unis en 1953. A l’époque, et pour s’assurer que l’Allemagne de l’Ouest constitue un élément stable et central dans le bloc atlantique, les Etats-Unis et ses alliés créanciers, effacent d’un coup près de 70% de la dette allemande.

     

    Partager via Gmail

  •  

    Effets, donc, Causes.Trouvez vous normal de ne pas assister à l'enterrement de sa mère alors que l'on est à proximité, moi pas, il y a dans cette attitude une provocatrice rancune qui me répugne.

    Je suis piquant, con, bête & méchant par moment mais, Ô grand jamais teigneux, nos parents ne nous plaisent pas, très bien, tant pis, mais c'est par eux que nous sommes là, faut s'y faire. Alors à l'heure du dernier rendez vous, nous nous devons au moins d'y être.

    Il faut vraiment en vouloir à la terre entière pour se comporter de telle façon.

    Ou...  Adhérer à des idées extrémistes que seul, en ce moment, un parti populiste laisse développer chez ces gens là. Renier, dénoncer ses parents pour des idées cela s'est vu en Allemagne dans les années 32/45, triste époque heureusement anéantie (tardivement) par le bon sens du reste du monde. Mais chez nous en ce moment, des gens se laissent endoctriner jusqu'au fanatisme et cela produit des choses comme énoncées plus haut.

    Partager via Gmail

  • Grèce : l'oligarchie dans la ligne de mire du Syriza

    Le Point - Publié le 25/01/2015 à 12:20

    En tête des sondages, le parti de Tsipras ambitionne de mettre fin à la mainmise de quelques familles

    Le leader du Syriza, Alexis Tsípras, a déclaré la guerre à l'oligarchie grecque.Le leader du Syriza, Alexis Tsípras, a déclaré la guerre à l'oligarchie grecque. © Luigi Mistrulli/SIPA
     
     
     
     
    331
     
     
    41
     
     
    1
     
     
    Par 

    "Nous, nous n'avons pas d'engagements avec les oligarques, nous en avons avec le peuple !" déclaraitAlexis Tsípras

    Partager via Gmail

  •  

    Covoiturage, Vélib, achat groupé, « crowdfunding » (littéralement « financement par la foule »)... les pratique participatives ont le vent en poupe. Elles valorisent la location, le service, l'échange... Dépassés, les proprios accros à leur bout de terreau ? Finie, la possession égocentrique ? A voir. Ce collectivisme de façade engendre de nouvelles sources de profit... qui n'ont rien d'altruiste.

     

    Partager via Gmail

  • Niger, cinq morts à ajouter à la liste de Paris. 

    Des cathos pris à parti par des musulmans, incompréhension entre cons, mais tuer à cause de rien, ça non!

    La colonisation est notre œuvre, on s'est bien sucré à cette époque et maintenant ceux qui sont restés fidèles à notre endoctrinement sont morts à cause de ce que nous leur avons emmené.

    C'est triste pour ces pauvres gens. 

    Partager via Gmail

  •    Au fil du temps le soixantehuitard et ses pensées est rejoint par la vague "bobo" trentenaire, quadra. Lui qui prônait ou qui prône encore, peace and love, est rattrapé par ses enfants qui s'accaparent ses valeurs, normal puisque on leur donne tout à ces chers bambins, mais ils ont mis plus de temps à y arriver, je ne plaisanterai pas en disant, à comprendre, mais, c'est un fait qu'à leurs âges leurs situations sont établies, pas pour tous malheureusement.

       De par ces temps effectivement, l'adolescence et l'âge adulte sont plus lents à se mettre en place. Dû certainement à l'insécurité économique de notre époque. Nous arrivons donc à avoir deux générations qui se chevauchent et qui se mêlent. Dire pour notre génération que le temps nous rattrape, je n'irai pas jusque là, mais c'est un phénomène original.

       J'imagine, ma génération et celle de mon père avec les murs qu'il y avait entre nous, c'est assez comique. 

       Maintenant dire que c'est mieux, je ne suis pas assez qualifié pour le dire mais c'est beaucoup plus agréable à vivre pour les uns et les autres.

    Partager via Gmail

  • Oui à Charlie

    Oui à la liberté d'expression

    Oui à toutes les libertés

    Feu Hara kiri, Charlie, oui, oui et encore oui!

    Mais, car je vois un mais, 

    Nous sommes en occident, pourquoi devant un tel obscurantisme ne pas faire montre d'une certaine allégeance, oh, pas longtemps mais suffisamment pour que ces esprits s'apaisent. Je sais je vais à contre sens de l'esprit républicain et libertaire mais taisons nous un peu, que l'on se calme tous, surtout les islamistes, et ce cher Charlie, là on commence à payer le prix fort.

    C'est comme une bagarre de rue, à celui qui aura le dernier mot. Laissez les ces cons pendant un petit moment, c'est aussi ça que l'on appelle; l'intelligence.

    Nous exerçons déjà beaucoup de pression en Afrique, notre présence est visible et nous pouvons jouer les coqs encore dans ces régions.

    Lâchons un peu de lest, Charlie fais tes unes sur autre chose merde! Ton honneur est bien sauf, on a tous défilé pour ça, alors lève un peu le pied tu n'en sera pas déshonoré.  

    Partager via Gmail

  • Je n'irai pas où, vous n'en avez rien à faire je sais, mais je n'irai pas.

    La manif pour Charli bien sur me touche mais en petite province c'est en majorité un sens différent à la démarche initiale. 

    Comme disait hier Valls, cette manif, plutôt, cette marche, n'est pas un défilé pour la peine de mort. C'est vers chez moi le sens donné par beaucoup à cette occasion, aussi je m'abstiens. C'est dur ce matin de ce promener et d'entendre les commentaires, empoisonnés, vénéneux des gens.

    J'espère que demain à Paris les gens sauront se comporter, j'en suis sur et cela démontrera une mentalité différente que je n'arrête pas de vanter car je sais qu'elle existe.

    Partager via Gmail





    Suivre le flux RSS des articles
    Suivre le flux RSS des commentaires