• Nous n'avons plus rien dans le pantalon.

       Notre génération 68, oui la mienne, ne connaissait pas le chômage, OK, mais cette époque était encore la suite de ces éducations guindées, judéo-chrétiennes qui donnait parfois, souvent même, l'envie de se taper la tête contre les murs devant tant de bêtises et de raisonnements attardés. Nous avons réagis. C'est pour cela que l'on se sent concernés par cette libéralisation des lois sociales, mœurs, culture, arts, etc... 

       Maintenant que  tout a changé ce n'est plus pour notre civilisation que nous devons lutter mais contre la déchéance progressive de nos acquis, sociaux, culturels ... Cela pourrait peut être à la dernière limite être accepté sur une courte durée mais, lorsque l'on voit des choses ignorantes des problèmes réels du peuple, là, non! Envisager des blocages de salaires sur trois ans, retraites déjà bloquées, retraites chapeau ... Encore non!

        Alors où je veux en venir, ben je vais vous le dire (sic du gland).

        On nous tire dessus, on rogne nos acquis et personne ne réagis, sauf quatre écolos illuminés, personne de sensé, crédible ne descend dans la rue.

        Je ne parle pas de gens récupérés par des partis, exemple la manif pour tous, amas de réacs, mais je pense à des gens de tous bords, des gens qui n'appartiennent à rien si ce n'est à ce pays qui rétrograde au fil des jours, qui sont en train de tout perdre et qui ne bronchent pas.

        Pourquoi ne font ils rien, peur de perdre leur emploi, ok, il n'y en a plus beaucoup, surtout CDD mais continuons comme ça et il n'y aura plus rien du tout, alors là oui, ils réagiront par peur, angoisse, panique et détresse, mais,

        Trop tard.   

     

     

        

     

    « Je ne comprend pas C'est beau une ville la nuit. (sic), mais NON ! ! ! je ne plagie pas. »
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