• Nos cerveaux sont excellents et se vendent, pas les moyens. Le technicien, l'ouvrier n'a pas d'offre convenable ou si peu. Dans les journaux, JT on nous met en avant la technologie, le savoir faire hight-tech français, malgré cela le chômage augmente, ce ne sont pas les élites, productrices de savoir, de techniques, certes, mais faibles en nombres qui peuvent faire baisser les courbes, et encore ne faut il pas qu'ils soient achetés par des groupes étrangers qui les payent plus que nous, et nous broient nous pillent...

    Le travailleur normal, celui qui nous concerne manque de punch. Nos vendeurs français qui sont par définition au début de la chaîne de vente, se font passer devant bien souvent par les chinois et autres.

    Exemple flagrant: le chantier de refonte totale du port d'Alger - main d'œuvre chinoise importée comprise, alors que nous avons toujours été privilégiés par les restes de la colonisation. Même ça c'est finit, plus de passe droit, nous sommes en concurrence directe avec les autres pays sur l'Algérie, l'Afrique, ce qui est juste! Nous manquons de dynamisme.

    Ce sont nos hommes politiques qui mettent des vendeurs dans leurs bagages pour se servir de la politique et vendre en même temps nos produits, si ils vendent!

    Oui, dynamisme, notre pays en a besoin.

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  • /... ne plus dire ne plus heurter. Même le sujet du bac s'en mêle.

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  •    Nous devons voir de nos propres yeux et n'admettre, n'accepter aucune tradition, aussi longuement établie fut elle, comme si son ancienneté lui donnait une puissance magique et sacrée.
     
       Je trouve cette phrase d'un contemporain et disciple de Bouddha particulièrement importante. Elle nous permet d'analyser sans passer pour un séditieux. De pouvoir contester, refuser ces traditions, us et coutumes imposés et transmis par des gens qui n'avaient qu'une qualité... celle d'être là avant nous. Je pense que les traditions freinent le progrès et l'évolution.

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  • Paradoxalement, une découverte n'augmente pas nos connaissances, mais notre inconnaissance.

     

                     FTD

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  • L'homophobie sera toujours, nous le savons, mais un coup d'épée dans l'eau est toujours un coup d'épée. Continuons ! 

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  • Ce n'était pas mon idée de la politique pour vaincre la crise, sûrement pas la vôtre non plus, mais je vous suis, yeux à ½ fermés.

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  •    La vastitude des océans s'est meublée, elle a pris corps, elle s'est métamorphosée en un être de terre et de chairs.

       Un tour du monde se change en île, l'île idéale qui permet le voyage absolu, partir de nulle part pour aller nulle part, comme on tourne encore et toujours autour d'une terre entourée d'eau qui devra être engloutie.Pour être circonscrite.

     

            FTD

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  • La culture est une parure pour les gens instruits

    Elle est pour moi un refuge

     

                     FTD                                                   

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  • Peut on dire du mal des morts, et pourquoi pas bon dieu! 

    Nous ont ils emmerdé de leur vivant, nous ont ils donné une planète en bon état, une économie saine et stable, des décolonisés formés etc... etc... Oh et puis ça va! Ils ne sont plus là pour nous gonfler avec leurs "je sais tout", qu'es ce qu'on va faire de toi?

    Alors oui, dites du mal de ces vieux cons, vieux chnocks en tous genres. Enfin, ils sont devenus utiles, en nourrissant les vers et le sol de la terre, qu'ils ont salis.

     

                      FTD

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  • Paul et moi nous nous connaissons depuis notre naissance, nous avons eu des joies des peines aussi, bien sur, mais sommes restés unis comme les doigts de la main.

    Je me souviens encore nos premières sorties où nous n'en menions pas large, comme j'étais le meneur je lui transmettais la confiance ou le doute, lourde responsabilité, j'en était conscient et dirigeais tout ça avec entrain. Super quand on est ados, non?

    Pendant des années il en fut ainsi et cela se passa dans l'ensemble assez bien. A sa décharge c'est mon extrême sensibilité qui nous fit essuyer quelques revers à son grand désespoir, difficile pour lui d'accepter d'être complètement dépendant. - Pourquoi m'a ton collé à toi! ce n'est vraiment pas facile tu sais! - Je savais, mais la nature est ainsi faite.

    Mes connaissances étaient toutes empreintes d'estime à mon égard, ce sont des choses que l'on perçoit facilement, mais je savais aussi que quelqu'un me jugeait, me notait parfois durement bien que dans l'ensemble il appréciait ma façon d'être, de faire, et mes succès finissaient toujours par l'appaiser. Souvent il m'encombrait, quand je le voyais sourire sournoisement devant certaines promesses faîtes en l'air, méfiant encombrant souvent, mais quoi faire, le quitter, nous séparer? A chaque fois un étrange sentiment m'en empêchait. Que ferais je sans lui et lui sans moi, impossible, donc nous sommes toujours là, rivés l'un à l'autre comme deux Siamois ayant fini par s'accepter.

    En est on venus à se détester, non, pas du tout car avec le temps les moments glorieux ont pris le dessus sur les autres. On se rappelle plus des joies que des déprimes et les bons moments prennent le dessus. Paul je le sais est dans mon cas.

    Maintenant les choses ont changées, nous avons vieillis, nos souvenirs nous font mal lorsque l'on y pense, c'est douloureux. Vieillir, ne plus se suivre tous les deux dans des aventures parfois bien compliquées nous donne un air de sagesse mais aussi nous provoque de la nostalgie. 

    Vieillir, ne plus suivre ses pulsions, les ignorer pour ne pas se flageller.

    Lui aussi ne résiste plus, il est dans son coin ressentant mes pensées, ne réagissant plus à mes idées encore folles mais désormais stériles.

    Alors d'un haussement du col, il se blottit et dort bien au chaud.

     

                   FTD

     

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