•  

     

    Qui a dit.

     

    C'est beau un ville la nuit ….

     

    R. Borhinger

     

     

    OK, OK fallait le trouver ça, pour intituler son roman et c'est très beau, porte ouverte à tous les rêves, délires, errances noctambules de toutes sortes. Bien assorti à son auteur.

    Mais si une ville la nuit est vraiment belle va t'on m'accuser de plagier? Puisque c'est un fait, je le dis moi aussi.

    Tout ça pour en venir à l'idée de plagia.

    C'est vraiment difficile dans certains cas de porter cette accusation. Une évidence pour tout le monde, c'est comme ça, après, la différence entre nous de décrire cette chose est toujours différente à par pour celui qui plagie vraiment et délibérément en recopiant un texte, mais celui qui donne son idée nul n'a un droit sur les idées et ne peut être accusé de plagier.

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  •    Notre génération 68, oui la mienne, ne connaissait pas le chômage, OK, mais cette époque était encore la suite de ces éducations guindées, judéo-chrétiennes qui donnait parfois, souvent même, l'envie de se taper la tête contre les murs devant tant de bêtises et de raisonnements attardés. Nous avons réagis. C'est pour cela que l'on se sent concernés par cette libéralisation des lois sociales, mœurs, culture, arts, etc... 

       Maintenant que  tout a changé ce n'est plus pour notre civilisation que nous devons lutter mais contre la déchéance progressive de nos acquis, sociaux, culturels ... Cela pourrait peut être à la dernière limite être accepté sur une courte durée mais, lorsque l'on voit des choses ignorantes des problèmes réels du peuple, là, non! Envisager des blocages de salaires sur trois ans, retraites déjà bloquées, retraites chapeau ... Encore non!

        Alors où je veux en venir, ben je vais vous le dire (sic du gland).

        On nous tire dessus, on rogne nos acquis et personne ne réagis, sauf quatre écolos illuminés, personne de sensé, crédible ne descend dans la rue.

        Je ne parle pas de gens récupérés par des partis, exemple la manif pour tous, amas de réacs, mais je pense à des gens de tous bords, des gens qui n'appartiennent à rien si ce n'est à ce pays qui rétrograde au fil des jours, qui sont en train de tout perdre et qui ne bronchent pas.

        Pourquoi ne font ils rien, peur de perdre leur emploi, ok, il n'y en a plus beaucoup, surtout CDD mais continuons comme ça et il n'y aura plus rien du tout, alors là oui, ils réagiront par peur, angoisse, panique et détresse, mais,

        Trop tard.   

     

     

        

     

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  • Ces propos n'engagent que moi, malheureusement.

    Pourquoi les hommes ont ils besoin de croire.

    Cette chose leur fixe des règles qui n'ont été écrites par aucune puissance divine, personne n'a vu, entendu un quelconque "dieu", être surnaturel, ou toute autre phénomène inexpliqué, alors, pourquoi agit on au nom de cette pure vue de l'esprit.

    Lorsque l'on voit une folie humaine à grande échelle il y a toujours un être suprême qui guide les masses.

    Mettons à part quelques guerres déclenchées par la folie d'un pays, la mégalomanie d'un homme, mais tout le reste est dû a une voix surnaturelle, "dieu", invérifiable.

    Pour ce qui m'intéresse ce genre de folie touche souvent des gens simples aux esprits influençables, non pas des fous, des gens comme vous et moi, élevés dans des traditions ancestrales et les livrant au fanatisme, n'osant pas mettre en cause l'éducation reçue. Je n'énumérerai pas les choses comiques que nous avons tous respectées enfants, prières au pied du lit, poisson le vendredi, ne pas mâcher l'hostie, être découvert pour les hommes dans une église etc... Voila le côté amusant.

    Maintenant et depuis pas mal d'années  nous assistons à de folles dérives, islamistes, chrétiennes, cela est de plus en plus grave car dangereux et nous entraîne dans une violente escalade. En France la rue est prise par des compatriotes avec des idées que l'on pensait appartenir au passé, tous ces gens récupérés par des mouvements que l'on dit "populistes" servent sans s'en rendre compte (j'espère) les intérêts des leaders de ces partis conservateurs, nostalgiques des années sombres qui nous ont fait tant de mal. Et bien sur, Dieu est omniprésent dans toutes ces actions.

    En Orient, c'est comparable mais plus cruel, pour le moment, nous voyons des mœurs, emmenant les gens à des actes dépassant nos imaginations, des choses que nous pensions là aussi oubliées dans les siècles.

    Aucune guerre est excusable, sauf; défendre la souveraineté et la liberté de son pays, maintenant une autre cause apparaît, la lutte contre cet islamisme extrémiste qui est d'une cruauté extrême et s'attaque à nous tous, venant chercher et endoctriner des esprits poreux en occident. "Merci mon Dieu!" Ce serpent s'immisce sournoisement sur toute la planète "occidentale" et pourrait remettre en question tous nos fondements de civilisation chèrement acquis. Là oui, une réaction s'impose. Une réaction à grande échelle, pas un ou deux pays s'engageant à moitié, mais tous ces blocs que nous avons construits pour la paix et qui doivent faire front face à cette marée qui avance vers nous, hommes d'un monde libre.

    Ces unions, états unis d'Amérique, d'Europe, de Russie ne doivent pas penser qu'aux systèmes financiers, aux banques dans leurs unions, mais d'ici peu ce sera peut être à leurs survies pour lesquelles ils devront s'inquiéter.

    Sans compter le plus menacé, le continent africain à qui nous devons tous assistance. Nous nous souvenons du pillage de ces colonies, ah oui ! j'oubliais,nous leur avons apporté des techniques innovantes etc... mais que ne leur avons nous pas pris en échange ! Rappelons nous, nous avons tous une dette envers eux.

     

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  • C'est logique, l'Amérique pays des libertés avait fermé ses frontières.

    Aux Etats-Unis, Obama annonce la régularisation de millions d'immigrés illégaux. Et défend une nation multiculturelle

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  •    twitter, s/mon compte: Réjouissez vous gens de peu de foi, de loi, de foie, sarko vas y finir enfin dans ce cul de basse fosse béant, qui l'attend depuis longtemps.

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  •         Dans le noir, l'obscurité, la nuit, le secret, je me prends à penser...
            Ne plus vivre dans un rythme, jour nuit de douze heures, mais dans une ombre de vingt quatre.
            Combien de temps doit il falloir pour perdre toute notion de jour et de nuit. Cette notion qui rythme notre vie, notre horloge interne.
            Ne doit on pas être prisonnier d'un effet claustrophobe quand on a perdu ce sens, et alors là, oui ! Entrerait on dans l'envers du miroir tel Orphée par besoin de fuir cet espace clos et oppressant.
            Simplement le temps est fascinant lorsqu'il garde son mystère et, qu'il nous laisse peut être augurer ... autre chose... notre rapport avec la matière. Elle, changerait tout à la vie à nos existences
    > à suivre?

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  •  

    Ce monde est dingue. RT: Un opéra australien interdit Carmen pour des raisons antitabac France Musique

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  •    C'est vrai que lorsque l'on a rien à dire, mieux vaut se taire.
    Oui, c'est exact, mais dire ce que l'on n'a pas peut donner peut être certaines choses.  
    Pour ma part il y a longtemps que je ne suis pas venu, trop dur, je comprends que pour certains talentueux écrivains la peur de la page blanche est terrible, j'en ai des choses qui me hantent et je n'arrive pas à les coucher sur du papier. Souvent j'en souffre et j'aimerai partager tout ça, ce n'est pas possible.
    Enfin là. . . Je m'aperçois que j'écris pour ne rien dire, c'est fou!
       Bon, à bientôt peut être, si vous n'avez rien à dire...

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  •         Paul et moi nous nous connaissons depuis ma plus tendre enfance, nous avons eu ensemble des joies, des peines bien sur mais sommes toujours restés attachés l'un à l'autre.

            Je me souviens encore nos premières sorties où nous n'en menions pas large, comme c'était moi qui apparemment était le meneur, je lui transmettais la confiance ou le doute, lourdes responsabilité. J'en étais conscient et le dirigeais à ma guise, super pour un ados, non?

            Pendant des années il en fut ainsi et cela se passa plus ou moins bien, ma sensibilité extrême me jouant souvent des tours et lui, dépendant de moi m'en fit souvent le reproche. "Pourquoi m'a t'on collé à toi ce n'est pas facile tu sais". Je le savais mais la nature est ainsi faite.

            Alors que mes relations étaient toutes empreintes d'estime à mon égard, moi seul ne m'estimait pas, je savais que quelqu'un me jugeait et riait par moment sournoisement de mes succès en société. Cela engendra une méfiance envers Paul, combien de fois voulus je le quitter, men séparer, l'abandonner mais à chaque fois un sentiment de lâcheté m'en empêchait. Que ferais je sans lui, impossible, donc nous sommes toujours là, rivés l'un à l'autre comme deux Siamois qui tirent chacun son boulet.

            En est on venu à se détester? Non, du tout, car avec le temps les moments glorieux, car il y en a eu, ont pris le dessus sur les autres. On se souvient toujours plus des moments heureux que des déprimes ou des échecs et Paul est comme moi. Maintenant les chose ont changées, nous avons vieillis bien sur, nos souvenirs nous font mal et repenser à tout cela est douloureux. Vieillir, ne plus suivre ses envies jusqu'au bout, d'ailleurs les ignorer carrément pour éviter de se flageller l'esprit est mieux.

            Lui n'a pas résisté, il est dans son coin ressentant mes pensées et ne réagissant même plus à mes idées encore folles mais stériles.

            Alors d'un haussement du col,

            Paul m'a quitté.

     

     
     
     
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  • Si les hirondelles n'étaient pas si savantes, elles ne voleraient pas comme elles volent, Ne dirigeraient pas leur vol avec cette hardiesse ... Mais toi ?

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